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Premières Impressions Londoniennes

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Je suis assise sur un banc, sous un arbre magnifique au bord de la Tamise, « the Thames » comme on l’appelle ici. Eh oui ! Je suis au pays du fish and chips . Moi-même j’ai du mal à réaliser. Et Mon Dieu ! Je ne suis pas au pays de la rose en vacance ou temporairement. C’est dorénavant mon lieu de résidence. Tout c’est passé tellement vite !

Il fait chaud ce qui, comme je le comprends, est plutôt rare ici. J’admire des rameurs progressant au rythme de la voix de leur barreur. Je vois des mouettes et des oiseaux que je n’ai pas l’habitude de voir. Je vois des gens qui marchent, qui font du vélo, qui courent. Je vois un homme en vélo mais en costume cravate alors que d’autres sont à moitié dénudés si ce n’est aux deux-tiers. Il y a de tout, mais chacun semble suivre son bonhomme de chemin sans porter de jugement ce qui me surprend. J’ai vraiment l’impression que l’on peut faire sa marche habillée comme on l’entend. Personne ne dérange personne.

Je ressens que je suis dans un autre monde. Je suis d’autant plus surprise que je n’ai pas du tout anticipé cette nouvelle vie, mais alors vraiment pas ! Mais quand l’occasion s’est présentée je n’ai pas hésité à la saisir. C’était l’occasion unique, pour moi comme pour les enfants, de s’ouvrir à une autre culture et surtout d’acquérir la langue internationale par excellence de ce XXI siècle, celle qui non seulement est basique pour la consultante en image que je suis mais aussi celle qui permet où que l’on soit aujourd’hui sur la terre, dans n’importe quel pays d’un des cinq continents, de pouvoir communiquer et échanger avec ses semblables, ce qui fait une différence des plus appréciables, sans compter l’accès à une richesse d’information incomparable qu’elle ouvre à l’âge d’internet. Il faut savoir que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une langue est parlée par un plus grand nombre de personnes pour qui ce n’est pas la langue maternelle que par les personnes dont c’est la langue maternelle.

Et dire qu’il y a seulement trois mois quelqu’un m’aurait dit : « Au mois de juillet tu seras assise au bord de la Tamise en train d’apprécier la vue et le courant d’air qui passe sur ton crâne et tes épaules », je lui aurais répondu « Mais bien sûr ! On peut toujours rêver ! Mais qu’est-ce que tu as pris pour avancer une chose pareille ! ». Et là, en ce début du mois de juillet 2019, j’en suis à me projeter de faire des vidéos pour « chantal.ats » à l’endroit précis où je suis justement assise au bord de la Tamise. Un endroit que j’aime beaucoup. Et je sais qu’au cours de mes marches quotidiennes j’en découvrirai un tas d’autres et que je les utiliserai pour communiquer par vidéo avec vous, mes beautés au féminin comme au masculin !

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