« Passer du : « Je ne sais pas si mon homme m’aime encore » Au : « Se sentir plus forte que jamais ! » C’est possible ! »

Passer du: « Je ne sais pas si mon homme m’aime encore ». Au: « Se sentir plus forte que jamais ! ». C’est possible !

Ce qu’une femme mariée m’a confiée récemment, et malheureusement elle n’est pas la première, loin de là :

« Je n’ai jamais été très entreprenante, je n’ai jamais eu besoin de l’être, mais aujourd’hui je ne sais pas si mon homme m’aime encore – il ne me voit plus. Il ne m’a pas touchée, je ne sais même plus depuis combien de temps. Au début j’en plaisantais avec lui. Aujourd’hui ce n’est plus possible, ce n’est plus de l’ordre de la plaisanterie. J’ai le sentiment que c’est trop tard. »

Et elle fond en larme.😭

Aussi étrange que cela puisse paraître de telles confessions me font penser à « Histoire d’O », un de mes livres érotiques préférés. C’est par l’histoire de sa parution que je le relie à ces si tristes et douloureuses confessions.

« Histoire d’O » parait en 1954, son auteur, Pauline Réage, est inconnue et reste un mystère. On suppose que c’est un pseudonyme. On tente d’attribuer le livre à Jean Paulhan, André Malraux ou Henry de Montherlant… C’est en 1994, cinquante ans après sa parution que Dominique Aury, femme d’autorité et de pouvoir dans le monde de l’édition française, admet enfin officiellement dans un entretien avec « The New Yorker » avoir été l’auteure mystérieuse d’Histoire d’O. Elle explique que c’est vers l’âge de quarante ans, sentant son amant s’éloigner d’elle, qu’elle a écrit ce récit, « Je n’étais pas jeune, je n’étais pas jolie. Il me fallait trouver d’autres armes ».

Ce sont ces « autres armes » qui incitent et permettent à Pauline Réage d’oser aller dans la transgression, l’insoumission, la provocation, de sortir des schémas classiques et respectueux, ces schémas du « bien-pensant » que l’on inculque depuis la naissance, ceux qui nous fixent, nous figent, nous limitent pour ne pas dire nous étouffent.

Et c’est là où pour moi « Histoire d’O » peut être une inspiration pour cette femme qui me confie son désarroi et désespoir. C’est l’occasion pour elle de « trouver « ses autres armes ». Celles qui lui donneront la force d’oser, oser sortir de sa zone de confort, des sentiers connus, empruntés et réempruntés, jusqu’à provoquer ce déclic qui l’ouvre à la possibilité de réellement se connecter à ce qui vibre au plus profond d’elle en dehors de tout diktat imposé et subi. C’est alors l’énergie et la possibilité d’affirmer « son intime et son beau ».👏

N’est-ce pas alors l’opportunité de prendre réellement son image en main, de faire qu’elle soit en accord avec ce que l’on vit et participe pleinement au dépassement de notre désespoir et nous aide à nous sentir plus forte que jamais !

Business Women au salon de l'Entrepreneuriat de Creil

La présence incontournable de Business Women au salon de l’Entrepreneuriat de Creil !

En bonne et fidèle membre de Business Women et en tant qu’ex Ambassadrice Business Women de Chantilly et actuellement Relais Business Women de Londres, j’ai le plaisir de vous présenter la « Fresque-Photo » qui sera positionnée sur le stand de Business Women au Salon de l’Entrepreneuriat de Creil.

Le Salon de l’Entrepreneuriat de Creil aura lieu le 14 novembre. Business Women y sera présente. Quelques membres de Business Women ont donné de leur temps et leur professionnalisme pour que la présence de Business Women à ce salon y soit exemplaire. A cet effet une photo-fresque a été réalisée par Virginie Oper qui sera positionnée sur le stand de Business Women. Il se trouve que j’apparais en première ligne. C’est un honneur pour moi !

Joindre le Réseau Business Women en tant que femme entrepreneure c’est bénéficier d’un soutien bienveillant, d’une ouverture sans préjugés, de contacts généreux, d’expertises aussi diverses que qualifiées, un ensemble qui ne peut que profiter à votre développement comme au développement de votre entreprise.

https://businesswomen.fr/equipe-business-women-60/

 

Un fabuleux week-end à Londres !

Photo chantal.ats

En bonne compagnie : trois femmes qui ne pouvaient que me booster et me confirmer que j’avais fait les bons choix !

De gauche à droite : Nevo Burrell, Consultante en Image et enseignante à Londres, Carolyn Doelling mannequin (72 ans) USA, Snjezana MacLean Consultante en Image à Londres.

 

Un fabuleux week-end à Londres dans le cadre de la réunion annuelle de la Fédération des Professionnels Internationaux de l’Image (FIPI) avec en première journée, vendredi vingt septembre, la visite au Victoria & Albert Museum d’une exposition sur Mary Quant, l’icône de la mode des années 1960, et une deuxième journée de conférences, le samedi 21, toutes aussi passionnantes les unes que les autres, sur le thème « The Changing Face of Fashion », avec des intervenantes et des participantes venues des cinq continents.

S’il y a une personne qui a contribué dans les années soixante à faire de Londres, depuis plus d’un demi-siècle, le centre par excellence de l’expérimentation et de l’innovation de la mode, qu’elle soit sociétale ou vestimentaire, c’est bien Mary Quant.

 

Photo chantal.ats

 

Ses origines, issue d’une famille de mineurs gallois, y sont surement pour beaucoup dans sa volonté de briser les stéréotypes traditionnels, la hiérarchisation des classes et de rendre la mode accessible au plus grand nombre. Son esprit irrévérencieux, son énergie légendaire et ses origines lui ont ouvert la rue comme source d’inspiration.

 

 

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Une tenue inventée par Mary Quant il y a cinquante ans et portée aujourd’hui n’aura rien perdu de son actualité. C’est dire à quel point elle était non seulement en avance sur son temps mais continue à influencer les stylistes d’aujourd’hui.

 

Photo : chanta.ats Avec Jo Allen, membre du Bureau du FIPI et organisatrice de l’événement.

 

 

Photo : Psychology.fashion

C’est Carolyn Mair, PhD en neuro-science et Professeur de psychologie à « University of the Arts » de Londres, qui a donné le ton de la deuxième journée avec sa conférence intitulée « The Future of Fashion : Changes and Challenges ». Le Professeur Carolyn Maier est à l’origine du tout premier programme universitaire à l’échelle mondiale menant à un diplôme de maîtrise en psychologie appliquée à la mode et à l’image et d’une maîtrise en psychologie pour les professionnels de la mode.

Paradoxe ! Cette première intervention, alors qu’elle avait un caractère plutôt scientifique, me remplissait d’émotions. J’étais enfin parmi une assemblée de personnes qui par leur envergure, leur travail, leur réputation au niveau international, donnaient au métier de Consultante en Image l’assise et la place que je lui ai toujours accordé mais que dans mes contacts jusqu’alors en France, on lui a trop souvent refusé. Où, un webmaster dont j’ai estimé le travail et la compétence, a prétexté de la frivolité de mon métier pour se justifier de mettre fin à notre collaboration, où une professeure de Français des collèges s’est, devant moi pendant une heure, permise de discourir sur l’inutilité de mon métier ?

Plutôt que de ressentir cette conférence comme une revanche je vivais ce moment comme une épiphanie, mon entrée chez mes pairs, « finally I was at home ». Je ressentais du plaisir, de la satisfaction, de la joie même et surtout l’énergie et la volonté de profiter pleinement de l’avenir qui s’offrait à moi en tant que Consultante en Image grâce à cette culture pleinement ouverte sur mon métier.

 

La deuxième intervenante, Tara Button est une auteure, éco-militante et entrepreneure. Son intervention était intitulée :

Photo : BuyMeOnce: Tara Button La créatrice de « BuyMeOnce.com avec la fameuse casserole « Le Creuset », une casserole qui est faite pour durer.

« A Life LessThrowaway». En 2016, elle a fondé Buy Me Once, un site Web qui recommande des produits de haute qualité, conçus pour résister à l’épreuve du temps et rester en dehors des décharges et sites d’enfouissement. Buy Me Once a pour objectif de changer définitivement nos habitudes d’achat en promouvant les marques qui accordent une grande importance au développement durable et à la longévité.

Elle a commencé sa vie active loin de telles préoccupations quand elle travaillait dans la publicité et essayait de persuader les parents d’acheter davantage de chocolat pour leurs enfants. C’est la beauté et la durabilité d’une marmite Le Creuset qui lui ont procuré cette énorme satisfaction de savoir que pour le reste de sa vie elle n’aurait non seulement plus jamais besoin d’en acheter une autre mais qu’elle pourrait même aller jusqu’à la transmettre à ses enfants. Etant moi-même la propriétaire d’une marmite Le creuset taille 28 depuis 18 ans et qui bien entendu m’a suivie dans mon déménagement à Londres, j’ai bien compris ce qu’elle voulait nous communiquer et ceci d’autant plus qu’après l’électronique, la « mode », celle qui pousse les gens à changer de tenues avant même de les avoir portées et d’encombrer leurs armoires de vêtements inutiles, est le deuxième secteur économique le plus polluant.

Et c’est là où elle a rejoint le travail des Consultantes en Image, tout spécialement dans l’aide que celles-ci peuvent apporter pour définir le style de chacun. Connaître son style, j’irais même plus loin en disant connaitre son tiercé gagnant, c’est savoir quoi acheter, c’est savoir constituer des tenues avec un minimum de vêtements, c’est rendre ces vêtements permutables et multiplier ainsi le nombre de tenues. Connaître son style et son tiercé gagnant c’est éviter les achats inutiles et superflus, en un mot c’est se sentir à l’aise en toute circonstance en diminuant ses achats et par la même en faisant sa petite part pour le maintien d’un environnement de qualité. Dans ce sens elle a également parlé du métier de Personnal Shopper, fonction qui fait pleinement partie des compétences de toutes Consultante en Image. Le Personnal Shopper dans le sens qu’il se veut être un accompagnement et de l’aide pour que la personne puisse passer du stade de simple consommateur à celui d’acteur et décideur de ce qu’elle porte. Une voie qui nous ouvre la perspective à acheter moins mais mieux aussi bien au niveau quantitatif que qualitatif et ainsi encore une fois contribuer, chacun à son niveau, à préserver notre environnement.

Ce fut ensuite la pause déjeuner, et à ce sujet j’ai une anecdote que j’aimerais vous partager. Lors de mon inscription au congrès de la FIPI au mois de juin on m’a demandé si j’avais des exigences ou des interdits alimentaires. Je leur ai répondu qu’en effet j’avais une allergie à l’ananas suffisamment forte pour pouvoir déclencher des réactions sévères de type anaphylactiques.

A la fin de la cession du matin une personne est venue me trouver pour m’informer en Anglais qu’une assiette spéciale m’avait été confectionnée où chaque aliment avait été contrôlé et examiné pour s’assurer qu’il n’avait pas été en contact avec de l’ananas. La personne n’étant pas certaine que je l’avais pleinement comprise vu mon niveau d’Anglais est allée chercher une de ses collègues qui parlait Français pour me confirmer ce que j’avais déjà compris. Cette extrême attention m’a beaucoup touchée.

La cession de l’après-midi a commencé avec l’intervention de Polly Holman ancienne Présidente du FIPI et qui enseigne au « London College of Fashion ». Elle nous a entretenus sur « Are Algorithms, AI and Avatars the Future of Styling ? ».

Photo chantal.ats. En compagnie de Polly Holman

 

Depuis plus de 20 ans, Polly Holman allie sa consultation privée et son enseignement au « London College of Fashion » à Londres et Dubaï lui donnant par là une perspective unique sur le marché mondial du stylisme. Elle a formé des stylistes originaires de 145 pays et ses stagiaires sont aussi bien des stylistes responsables de marques, qu’elles soient nationales ou internationales, que des personnal shoppers, que des formateurs. Au cours des trois dernières années elle a travaillé sur la création d’algorithmes d’apprentissage automatique pour le commerce de détail sur une plate-forme internet, d’où le titre de sa conférence.

Avec mon Anglais encore quelque peu rudimentaire et le sujet traité je dois dire que je n’ai peut-être pas saisi l’intégralité et la richesse de l’intervention de Polly Holman. Par contre, à travers sa présence et son charisme j’ai bien compris que j’étais là devant une des grandes dames à l’échelon international de la mode, du style et de l’image. Dans la partie moins technique de sa présentation j’ai tout particulièrement apprécié sa façon de dire que même s’il on considère que le fait de s’occuper de vêtements peut pour certains paraître superficiel, il n’empêche que derrière le vêtement se cache l’estime de soi, les angoisses lorsque l’on ne se sent pas bien, les jugements portés à notre égard, autant de ressentis et de sensations qui eux sont bien « une réalité » et qui n’ont rien de superficiels.

 

Ce fut ensuite au tour d’Eva May Person de Healing Image HI de nous parler de : « How Image Professionnals Can Help Survivors of Abuse ». Une femme qui se sert de son vécu de personne ayant été violée et de la façon dont elle a pu s’en sortir en utilisant l’image pour aider les autres. J’ai ressenti que pour certaines son intervention n’avait pas vraiment sa place dans le cadre du FIPI ou que d’autres ressentaient qu’elle s’apitoyait peut-être trop sur son sort. Pour moi qui ait été meurtrie dans mon corps dès mon plus jeune âge, je sais quelle force et dépassement il faut pour arriver à en parler en public et je sais que d’y arriver est la voie royale de la guérison. Quant à la contribution de l’image, je sais également à quel point le fait d’être Consultante en Image fut un des moyens, si petit soit-il, qui m’a aidée à reprendre pleinement contact avec mon corps. Après un viol, arriver à reprendre contact avec son corps, à se le réapproprier, est primordial et est assurément l’aboutissement d’un long travail nécessaire. Peut-être faut-il avoir été meurtri à tel point dans son corps pour saisir combien l’image peut être une des bouées de secours disponible dans le cheminement conduisant à la guérison suite à un viol. En ce sens je ne pouvais qu’être sensible aux paroles d’Eva May Pearson et savoir que sa communication avait pleinement sa place lors de ce congrès du FIPI et je la remercie d’avoir eu le courage de parler en public de son vécu.

Finalement, Azrene Ahmed, Directrice du Programme Master d’Imago, Malaisie, nous a présenté sa vision de ce qu’elle entrevoyait comme « The Rise of Modest Dressing ». J’ai vraiment été impressionnée par Azrene Ahmed, par la force qui se dégageait de ce petit bout de femme. J’ai été d’autant plus impressionnée que j’ai ressenti que c’était une femme de pouvoir tout en gardant une grande simplicité, deux traits de caractère qui donnent de l’envergure à celle ou celui qui sait les allier. Et tout ceci en nous décoiffant avec son voile porté avec la plus grande élégance et noblesse. Du coup j’ai fait quelques recherches sur le personnage que j’aimerais vous partager.

Photo chantal.ats Avec Azrene Ahmed.

Azrene Ahmed est malaisienne. Pour la petite histoire et question de situer le personnage il faut savoir qu’elle est la fille du premier mariage de Rosmah Mansor qui en seconde noce a épousé Najib Razak, premier Ministre de Malaisie de 2009 à 2018 avec qui elle a passé le plus clair de son enfance et adolescence. Najib Razak est l’un des hommes politiques malaisiens ayant occupé le plus de fonctions régaliennes.

Suite à sa défaite aux élections de 2018, Najib Razak est accusé de corruption et de détournement d’argent pour une somme se montant à un milliard de dollars. Et c’est là où la personnalité, le caractère bien trempé d’Azrene Ahmed se révèle pleinement. Quelques heures à peine après la défaite électorale de son beau-père, Azrene publie un texte sur Facebook qui devient virale en Malaisie. Elle écrit qu’elle adorait initialement ses deux parents mais qu’elle a dû se rendre à l’évidence et qu’il lui a fallu des années pour reconnaître et admettre les abus et les mauvais traitement infligés par sa mère, un chemin qui lui a infiniment coûté.

Alors que les spéculations sur le train de vie et la corruption de l’ancien couple présidentiel sont au plus haut Azrene mentionne les comptes ouverts dans des banques du monde entier, les valises bourrées d’argent, l’argent dépensé comme si c’était de l’eau, elle-même utilisée comme « mule », la tentative de sa mère de la vendre au plus offrant et plus puissant afin de promouvoir ses ambitions sociales et politiques. Son texte n’est pas pour rien dans la perquisition qui a lieu à leur domicile au cours de laquelle la brigade anticorruption trouve une cache d’objets de luxe d’une valeur de 273 millions de dollars, comprenant 1 400 colliers, 567 sacs à main, 423 montres, 2 200 bagues, 1 600 broches et 14 diadèmes, la plus grande saisie de l’histoire de la Malaisie.

Pas besoin d’en dire davantage sur Azrene pour situer le personnage. Voilà qui ne faisait que confirmer l’impression qu’elle m’avait faite avant même que je m’informe davantage sur son parcours. Un parcours qui par bien des côtés s’apparente au mien à la différence près qu’elle vient d’une famille de pouvoir et moi d’un bidonville du cœur de l’Afrique. Nous avons en commun la trahison et la traitrise d’une mère si longtemps aimée mais finalement l’obligation d’une reconnaissance de l’évidence qui entraîne une telle douleur et demande un tel courage. Un travail sur soi de longue haleine qui aujourd’hui avec mes 40 ans exige encore de le poursuivre pour en prendre pleinement conscience, d’où mon slogan : aider chacun et chacune à prendre pleinement conscience de sa valeur et à vivre avec élégance.

 

 

 

 

 

Le Drapage Final, Analyse de Couleur !

Le Drapage Final, cerise sur le gâteau de votre Analyse de Couleur !

L’Analyse des Couleurs est une des principales portes d’entrée du Conseil en Image. Connaître ses bonnes couleurs c’est se donner la chance non seulement de projeter notre meilleure image mais surtout de nous procurer davantage d’énergie, d’équilibre, de bien-être, d’allant.

Muriel m’a contactée suite à une conférence que j’ai faite à des femmes entrepreneures à laquelle elle assistait et, malgré le fait d’avoir déjà eu recours au Conseil en Image, elle a voulu bénéficier de mon expertise. Nous avons donc effectué son Bilan d’Image et elle a alors décidé de faire avec moi : son Analyse de Couleur, l’Etude de sa Silhouette et la Définition de son Style Vestimentaire.

Dans cette vidéo vous aurez le privilège de suivre le Drapage Final de Muriel, conclusion de son Analyse de Couleur. Suite à ce Drapage Final, Muriel repart avec un Portefeuille Personnalisé qui lui procurera toute facilité pour faire les meilleurs choix quant à ses tenues vestimentaires au quotidien aussi bien que de son maquillage, et l’achat de ses vêtements.

 

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Premières Impressions Londoniennes

Je suis assise sur un banc, sous un arbre magnifique au bord de la Tamise, « the Thames » comme on l’appelle ici. Eh oui ! Je suis au pays du fish and chips . Moi-même j’ai du mal à réaliser. Et Mon Dieu ! Je ne suis pas au pays de la rose en vacance ou temporairement. C’est dorénavant mon lieu de résidence. Tout c’est passé tellement vite !

Il fait chaud ce qui, comme je le comprends, est plutôt rare ici. J’admire des rameurs progressant au rythme de la voix de leur barreur. Je vois des mouettes et des oiseaux que je n’ai pas l’habitude de voir. Je vois des gens qui marchent, qui font du vélo, qui courent. Je vois un homme en vélo mais en costume cravate alors que d’autres sont à moitié dénudés si ce n’est aux deux-tiers. Il y a de tout, mais chacun semble suivre son bonhomme de chemin sans porter de jugement ce qui me surprend. J’ai vraiment l’impression que l’on peut faire sa marche habillée comme on l’entend. Personne ne dérange personne.

Je ressens que je suis dans un autre monde. Je suis d’autant plus surprise que je n’ai pas du tout anticipé cette nouvelle vie, mais alors vraiment pas ! Mais quand l’occasion s’est présentée je n’ai pas hésité à la saisir. C’était l’occasion unique, pour moi comme pour les enfants, de s’ouvrir à une autre culture et surtout d’acquérir la langue internationale par excellence de ce XXI siècle, celle qui non seulement est basique pour la consultante en image que je suis mais aussi celle qui permet où que l’on soit aujourd’hui sur la terre, dans n’importe quel pays d’un des cinq continents, de pouvoir communiquer et échanger avec ses semblables, ce qui fait une différence des plus appréciables, sans compter l’accès à une richesse d’information incomparable qu’elle ouvre à l’âge d’internet. Il faut savoir que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’une langue est parlée par un plus grand nombre de personnes pour qui ce n’est pas la langue maternelle que par les personnes dont c’est la langue maternelle.

Et dire qu’il y a seulement trois mois quelqu’un m’aurait dit : « Au mois de juillet tu seras assise au bord de la Tamise en train d’apprécier la vue et le courant d’air qui passe sur ton crâne et tes épaules », je lui aurais répondu « Mais bien sûr ! On peut toujours rêver ! Mais qu’est-ce que tu as pris pour avancer une chose pareille ! ». Et là, en ce début du mois de juillet 2019, j’en suis à me projeter de faire des vidéos pour « chantal.ats » à l’endroit précis où je suis justement assise au bord de la Tamise. Un endroit que j’aime beaucoup. Et je sais qu’au cours de mes marches quotidiennes j’en découvrirai un tas d’autres et que je les utiliserai pour communiquer par vidéo avec vous, mes beautés au féminin comme au masculin !

La couleur, la silhouette, le style

La couleur, la silhouette, le style : le tiercé gagnant du Conseil en Image !

Vous m’entendrez souvent parler du « Tiercé Gagnant » : CouleurSilhouette – Style.

En adoptant vos couleurs à vos coloris naturels (complexion, pupille, couleur d’origine des cheveux), en tenant compte de votre morphologie qui vous indiquera vos meilleures coupes et formes, en trouvant et affirmant votre style et en le mettant en adéquation avec votre personnalité, vous allez créer de l’harmonie, apporter une cohérence au niveau de l’image que vous projetez, renforcer votre présence et crédibilité, gagnez du temps et dépensez moins lors de vos séances shopping, gérer efficacement votre garde-robe, faire qu’elle soit le prolongement de vous-même, en adéquation avec votre mode de vie personnel aussi bien que professionnel …

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Votre Image est Communication : l’utiliser-vous en votre faveur ?

 

Encore une fois j’ai pris mon bâton de pèlerin ! Le jeudi 13 juin 2019, devant un public de femmes entrepreneures membres de Business Women et invitées par monsieur François Dehayes, Maire de Coye la Forêt et Président de la Communauté de Communes d’Aire Cantilienne, j’ai eu l’opportunité de parler de ma passion : le Conseil en Image. Une profession qui est trop souvent vue comme s’adressant aux « people » et autres stars du monde du spectacle et des médias. Devant ce public choisi et ouvert j’ai pu partager ma vision de ce qu’est véritablement le Conseil en Image : Une démarche qui va à la recherche de ce que nous sommes au plus profond de nous-même afin de l’exprimer à travers l’image que nous projetons. Et comme vous pourrez le voir et l’entendre sur cette vidéo, grâce à l’attention qui m’est portée et aux nombreux échanges, je ressens que ce fut une matinée des plus enrichissantes non seulement pour les femmes entrepreneures de Business Women mais aussi pour monsieur le Maire qui a su mixer avec humour Conseil en Image et élection.

 

Votre image est communication l’utilisez-vous en votre faveur?

Cette fois-ci toutes et tous à votre agenda!

Comme vous le savez je suis non seulement membre d’un réseau de femmes chefs d’entreprises de l’Oise et du Val d’Oise, Business Women, mais j’en suis également l’ambassadrice pour le secteur de Chantilly. Le jeudi 13 juin j’aurai la responsabilité non seulement de quo-présider aux côtés de notre Présidente Annick Pelletyn une de nos réunions Business Women mais également d’en être l’intervenante. A cette occasion j’aurai l’honneur de faire cette intervention en la présence de Monsieur Deshayes, Maire de Coye la Forêt et Président de la Communauté de Communes Aire Cantilienne et de Monsieur Chaffoix responsable de son Développement Économique, qui nous parlerons de la dynamique des petites et moyennes entreprises et des programmes de développement pouvant les intéresser.

Au cours de mon intervention je vous parlerai des vecteurs de l’image, de son harmonie, du langage du corps, de l’importance de la posture, des codes vestimentaires, du bien habillé, du savoir être, de l’hygiène … Autant d’aspects qui jouent leur rôle dans le dynamisme de toute entreprise.

Cette réunion Business Women, contrairement à nos habitudes, se fera un plaisir d’accueillir les dames aussi bien que les messieurs, alors faites le savoir autour de vous et venez-y nombreuses et nombreux.

A cette occasion, Stéphanie de l’Atelier AOI, régalera nos papilles gustatives avec un métissage Franco-Japonais, fidèle illustration de mon universalisme.

Pour réserver vos places contactez-moi  :

Live Europe Vivre De Sa Passion

Résumé : En 2016 j’ai joint la formation « Vivre de sa Passion » de Sylvain Carufel. Les 27 et 28 avril 2019 plusieurs cohortes d’élèves de « Vivre de sa Passion » se sont réunies à Toulouse pour une rencontre organisée par Sylvain Carufel et son équipe. Deux journées pleine de découvertes, de rencontres, d’échanges et d’énergie entre de belles personnes.

 

Mots clés : Toulouse, énergie, partage, émulation, bienveillance, Vivre de sa Passion, Facebook live

 

Deux semaines déjà que Sylvain nous a réunis à Toulouse. Pour moi c’était hier. Je n’arrive pas à croire que 15 jours se sont écoulés depuis ces quarante-huit heures passées ensemble. Toute cette énergie, tout ce partage, toute cette émulation, toute cette bienveillance, tout cet encouragement sont toujours présents en moi. Aujourd’hui, 9 mai 2019, Toulouse vit en moi !

A travers la simplicité, l’enthousiasme et la générosité de Sylvain j’ai ressenti à Toulouse toute la grandeur de « Vivre de sa Passion ». Grâce à son charisme et son leadership il sait attirer des individus de qualité aussi bien parmi les personnes qui l’entourent et travaillent à ses côtés que parmi celles qui, comme moi, assistent et participent à ses meetings. C’était pour moi, après Marseille en 2016, la deuxième fois que j’étais présente à un « Live Europe Vivre De Sa Passion ». J’ai apprécié la dimension restreinte et intime de Toulouse. Ce fut une belle occasion de rencontres et de retrouvailles. Autant d’occasions pour partager, découvrir, apprendre, créer des liens et, pourquoi pas, faire du business dans un esprit gagnant-gagnant.

Fabienne nous a challengés de repartir avec des quo-équipiers et maintenir une relation pendant l’année à venir.

Ce jour-là je n’ai rien recherché mais de façon complètement inattendue et naturelle avec Olivier Andriason, médecin pédiatre accompagné de sa fille, nous nous sommes choisis. Depuis Olivier a pris les devants et m’a appelé ce qui me fut très sympathique.

Entre le pédiatre et la consultante en image il y a de quoi s’amuser et il y a tout à parier que l’échange sera riche et ne pourra qu’agrandir nos horizons.

De manière non officielle mais tout ce qu’il y a de plus officieuse je suis également repartie avec un autre quo-équipier pour un échange qui pourrait fort bien dépasser l’année à venir. Qui vivra verra !

Quant à Sylvain il nous a lancé le défi de faire un Facebook live. Il sera fait, parole de femme !

J’ai tellement envie de remercier Sabine, Caro, Daniel, Françoise, Magalie (méditation)… Et bien sûr Émilie qui, bien que pas là en personne, était vraiment présente parmi nous à travers Sylvain. Un clin d’œil à ceux de la cohorte 2016 : Valérie, Laurine, Fabienne, Laurent que j’ai eu tant de plaisir à retrouver, sans oublier notre doyen Philippe. Et une pensée émue à Julie, Gilbert et toutes les personnes présentes.

Quoi de plus satisfaisant, de plus beau, que de Vivre de sa Passion ! Encore merci Sylvain de nous inspirer et d’être l’exemple que tu es !

 

Je vous souhaite à toutes et à tous une douce et agréable fête du travail.

Tous les matins, qu’il pleuve, qu’il vente ou que les rayons du soleil me caressent, j’essaye de faire ma marche matinale et quotidienne. Elle fait partie de mon hygiène de vie. Aujourd’hui, premier mai, j’ai choisi de la faire dans la forêt d’Ermenonville.

L’occasion non seulement de marcher mais aussi de me ressourcer au contact de toute cette énergie que nous offre si généreusement tous ces arbres. Je n’avais pas pensé au muguet mais la forêt m’en a proposé tout un magnifique parterre. J’ai osé en cueillir quelques brins pour partager avec vous toute sa beauté. Il ne vous reste plus qu’à imaginer sa fragrance si délicate. Je vous souhaite à toutes et à tous une douce et agréable fête du travail.